Dans un contexte où le nombre de parents désireux d’adopter des enfants ne cesse d’augmenter, la pression sur les pays d’origine, en particulier sur ceux n’ayant pas ratifié la Convention de la Haye sur la protection des enfants et la coopération en matière d’adoption internationale (CLaH), s’accroît de manière considérable au détriment de la protection des enfants. Convention internationale de taille et qui établit des garanties minimales pour l’adoption internationale, la CLaH requiert tant des Etats d’accueil que des Etats d’origine qu’ils prennent leurs responsabilités afin d’assurer le respect de l’intérêt supérieur de l’enfant à tous les stades de la procédure.

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